Induction 1er édition

« INDUCTION »

« Des paroles qui résonnent »

 

 

"Des paroles qui raisonnent"

 

 

 

« Cette première édition du festival Induction, portée par la compagnie de théâtre Mata Malam a rassemblé durant trois jours plusieurs artistes professionnels girondins et congolais. L’événement s’est déroulé au chemin de Peyrefaure, en pleine campagne dans un champ et à l’intérieur d’une vieille bastide girondine au chemin Peyrefaure à Samonac. Les artistes se sont exprimés devant une cinquantaine de festivaliers à chaque spectacle, qui ont pu apprécier des textes, de la musique, du chant, des vidéos et des performances qui avaient à cœur d’offrir au public des réflexions profondes sur les thèmes du partage et des migrations, notamment. Chaque artiste a fait passer une histoire et une réflexion collective qui parle à l’intime et à l’individu tout en ayant une portée universelle et initiatique. Ce festival a ainsi mis en scène la littérature sous toutes ses formes et le public s’est laissénotamment toucher par la prestation très puissante de Valentine Cohen où tous se sont sentis en catharsis. 

 

 

 

« Et nous devînmes infranchissables ! » , Valentine Cohen

 

 

Echanges et réflexions
« Très attentif, réceptif et investi, le public a très bien compris le message porté par la performance vivante et humaine. Ce moment privilégié a rendu possible le partage, les échanges, la réflexion, et la prise de conscience collective. Des instants qui ont permis à certains d’entre nous de s’exprimer, de s’ouvrir, de partager leurs émotions et leurs ressentis à travers le chant, la danse, ou la parole », confie Marie-Charlotte Trouwaert, co-organisatrice du festival. Tous les artistes ont contribué à leur manière, par leurs textes, à ouvrir les esprits, les yeux et les cœurs. Des personnes dans le public en sont sorties bouleversées. « L’induction a eu lieu et nous ne nous arrêterons pas en si
bon chemin »,
promet Valentine Cohen, la directrice artistique du festival. »
M.-C. W. 

 

 

 

« Pain béni » de et par Ornella Mamba