M’APPELLE MOHAMED ALI

La création

Un texte qui nous tient à coeur depuis longtemps, « M’appelle Mohamed Ali » de Dieudonné Niangouna.

Écrit il y a 10 ans, par Dieudonne Niangouna, ce « chevalier des Arts et des lettres », ex directeur du Festival d’Avignon en 2019, Il s’agit à n’en pas douter d’un texte qui traversera les âges tellement il vise juste à propos des luttes pour l’émancipation. La vie du boxeur américain Mohamed Ali, celui qui disait « voler comme un papillon et piquer comme une abeille », permet à la narration d’aborder des sujets nécessaires sur le vivre ensemble. Face au rejet de l’Autre avec un grand A et la radicalisation de certains, l’art peut nous faire rire, penser, changer. Boxeur et acteurs, même combat.

L’art-matrice 2.0

L’Art-Matrice. Suite au projet éponyme, création en cours.

Parce que l’art est fécond, porteur de vie. Matrice comme Matrix. Comment entrer en émancipation. Se lancer dans l’exploration des figures inspirantes, principalement féminines, qui tissent un chemin de révolution et de décolonisation des imaginaires. Pourquoi féminine plus que masculine ? Parce qu’en ce 21 siècle où cette équité entre hommes et femmes est encore en reste, il nous semble intéressant de mettre en lumière les idées fortes des artistes femmes engagées dans leur pensée et de celles qui revendiquent aujourd’hui leur espace public, dont nous sommes tous et toutes héritiers. Nous voulons contribuer à un Monde plus proches des visions de Frantz Fanon que des dirigeants économiques . Pour agir poétiquement, politiquement, socialement, spirituellement.

Création collective. Cette idée de création pour le OUI circule en moi et nous depuis longtemps. Comment allumer notre OUI ? Plus l’ obscurité sociétale monte, plus est urgent d’agir en lumière. Certes, les propos seront encore aussi de revendiquer ses nuits de veille, ses douleurs, nos prises de position; car ils sont le socle de nos adhésions .

Et nous devînmes infranchissables !

«   ET   NOUS   DEVÎNMES INFRANCHISSABLES    !   »,  texte   de Valentine Cohen, traite du chaos individuel et collectif et des solutions et célébrations alternatives possibles. Une femme, échantillon humain, s’engage dans une célébration duquestionnement, afin d’atteindre à nouveau la lumière.

Traverser l’obscurité. Renaître. Les   questions   cognent   pour   accompagner  cette   renaissanceindividuelle et collective.

IMMACULÉE

Texte d’Anna-Maria Celli et Léandre-Alain Baker. Le viol comme arme de guerre. Héritières de cette francophonie mosaïque et d’une histoire coloniale. 3 femmes au plateau. Dénoncer les abus individuels et collectifs. Abus d’un pays sur un autre, spoliation, néo-colonialisme. Exploitation de l’homme par l’homme, domination de l‘homme sur la femme, instrumentalisation de l’homme, viol comme arme de guerre…

Pain-Béni

« Ce qui frappe chez Ornella Mamba, c’est ce mélange de tranquillité et d’ébullition soudaine du cerveau. Cette femme là est en prise directe avec la vie. Jeune femme congolaise, comédienne, maman, activiste, son 1er texte « Pain Béni » nous livre des fragments de vie entrecoupés par les violences rencontrées sur le chemin. Désirs, enfance, illusions, visions, prises de conscience, cauchemars, enfantent une parole décousue, une langue singulière et plurielle, un voyage dans l’intimité publique »

Valentine Cohen

Que Ta volonté soit fête…

La Seconde Guerre Mondiale, cette époque tumultueuse du chaos humain est la toile de fond de « Que Ta volonté soit fête… ». De 1941 à 1943, à Amsterdam, une femme juive tient un journal. Un document extraordinaire dans lequel s’élève une foi indéfectible en l’homme alors qu’il accomplit ses plus noirs méfaits.

« Il vaut peut-être la peine d’être personnellement présent dans l’histoire, cela permet de constater qu’il y a bien autre choses que ce que disent les manuels scolaires…» Etty Hillesum

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